Vous trouverez principalement dans ces pages des témoignages d'agriculteurs et parfois, aussi, ceux de leurs conseillers, impliqués comme eux dans des actions de préservation de la ressource en eau du bassin versant de la rivière Seille. Les pratiques évoluent. Notre objectif est de montrer les choix judicieux et les bons gestes accomplis dans les activités quotidiennes par ces hommes et femmes. Les élus locaux, comme les simples citoyens seront également associés à cette démarche. Il s'agit de relever un défi collectif : celui de diminuer concrètement et durablement l'impact sur l'environnement.

vendredi 21 septembre 2012

Pensez déjà à demain !



Pour de nombreuses parcelles ou zone de parcelles, la germination n’a pas débuté. Dans des situations plus compliquées, elle a débuté et s’est fait stopper par la sécheresse persistante.
Autant dire que statistiquement, les possibilités d’avoir un colza au stade 6 feuilles et un collet avec 0.8 cm de diamètre pour les premières gelées, sont plus que minces aujourd’hui.
Les situations sont à gérer au cas par cas :
         - Les colzas non désherbés : Les resemis en céréales d’hiver sont une possibilité. Attention, toutefois à la gestion de la MAE rotationnelle qui n’autorise pas 2 cultures identiques à la suite.
         - Les colzas désherbés avec des produits de pré et de post levée : les solutions de resemis sont plus réduites. Seules les cultures de printemps seront possibles, il y a donc du temps pour la réflexion.
Après de la napropamide (Colzamid ou Devrinol f…) on peut envisager du maïs, du tournesol et bien entendu du colza de printemps sans précautions particulières.
Après, par exemple un Novall seul, on ajoutera à ces cultures possibles : les protéagineux de printemps et la luzerne.
Pour plus d’information, référez-vous au tableau du CETIOM sur les cultures de remplacement :

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