C’est parti pour la campagne d’analyses de sol. Une
fois n’est pas coutume, nous délaissons l’azote pour nous rapprocher vers d’autres
éléments.
Ces autres
éléments sont aussi majeurs pour la fertilisation, notamment le phosphore
et la potasse. S’ils sont mal utilisés, ils sont aussi source de dépenses et de
pollutions.
Avec une analyse de sol, faites dans les règles de l’art et répétée
tous les 3 ou 4 ans, on peut éviter les écueils du « ni trop, ni pas
assez ».
C’est aussi le moment de s’intéresser :
-
Au pH, souvent après l’hydromorphie le facteur
le plus réducteur pour les potentiels de production,
-
A la
teneur en matière organique, tellement importante pour la structure du sol et
sa fertilité,
-
A la texture avec la teneur en argile devenu un élément
déterminant pour la gestion des intercultures en zone vulnérable (cf. dernier
article).
Si vous voulez en savoir, plus connectez-vous au site du COMIFER « la fertilisation raisonnée » :
Pour vos analyses de terre et leurs interprétations, contacter vos
techniciens.
Pour atteindre le potentiel et donc une bonne balance azotée, tous les
éléments de l’itinéraire technique sont importants : le pH, le phosphore,
la potasse et la matière organique aussi !
Bonne moisson et bonne Seille !
Claude RETTEL - CDA57

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